Dans quel ordre lire Bernard Minier (Commandant Servaz) ?

Auteur d’environ une dizaine de romans et de nouvelles, Bernard Minier est un romancier dont les œuvres ont reçu plusieurs prix, certaines ayant même été adaptées au cinéma.

En 2021, il est classé en sixième position parmi les auteurs de romans francophones ayant vendu le plus de livres derrière des auteurs comme Franck Thilliez ou Marc Levy. Il doit une grande partie de sa popularité à sa série phare, mettant en scène le commandant Martin Servaz.

Quels sont les livres appartenant à la série de Martin Servaz ? Y’a-t-il un ordre dans lequel les lire ? Par quel livre commencer ? Quel est son livre le plus récent ?

Les réponses dans la suite de ce guide de lecture !

Sommaire

    Quels sont les livres de Bernard Minier ?

    Bernard Minier est l’auteur de dix livres, neuf romans et un recueil de nouvelles, très exactement.

    Pour ce qui est des romans, on peut classer la bibliographie de Bernard Minier en deux catégories : les romans indépendants et les romans de séries.

    Les Romans Indépendants de Bernard Minier

    Bernard Minier a écrit deux romans indépendants. Il s’agit de :

    1. Une Putain d’Histoire, 2015
    2. M, Le bord de l’Abime, 2019
    3. Lucia, 2022

    Les Enquêtes de Martin Servaz : Ordre de Lecture

    Bernard Minier est surtout connu pour sa série mettant en scène le personnage du commandant Martin Servaz, qui apparait pour la première fois en 2011 dans « Glacé ». D’autres romans de la série seront publiés par la suite.

    Alors, pour ce qui est de l’ordre de lecture, il y a plusieurs choses intéressantes à savoir.

    Tout d’abord, l’ordre chronologique de parution n’est pas l’ordre chronologique des évènements. Ensuite, les livres peuvent être lus et compris indépendamment sans forcément respecter l’ordre de lecture.

    L’auteur fait un bref rappel de personnages des opus précédents, leur identité et dans quelles circonstances ils apparaissent, ce qui permet aux lecteurs qui n’ont pas encore lu les opus précédents de ne pas se perdre et comprendre quand même l’intrigue.

    Bien sûr, je vous conseille vivement de les lire dans l’ordre pour comprendre toute la dimension psychologique du personnage récurrent de Bernard Minier et pour globalement avoir une meilleure expérience de lecture.

    Dans quel ordre lire les romans de la série Martin Servaz ? Voici deux façons de les lire :

    Ordre de ParutionOrdre Chronologique
    1Glacé, 2011Soeurs, 2018
    2Le Cercle, 2012Glacé, 2011
    3N’éteins pas la Lumière, 2014Le Cercle, 2012
    4Nuit, 2017N’éteins pas la Lumière, 2014
    5Soeurs, 2018Nuit, 2017
    6La vallée, 2020La vallée, 2020
    7La Chasse, 2021La Chasse, 2021
    8Un oeil dans la nuit, 2023Un oeil dans la nuit, 2023
    Les deux ordres de lecture possibles pour la série Martin Servaz.

    Faites gaffe tout de même. Amazon a classé « Une Putain d’histoire » comme faisant partie des livres des enquêtes de Martin Servaz. C’est une erreur de la part du site, il s’agit bel et bien d’un roman indépendant. Martin Servaz n’apparaît pas du tout dans ce roman.

    Les deux ordres se valent, mais si vous êtes un maniaque de la chronologie des évènements, la seconde est faite pour vous. Mais je vous recommande personnellement de les lire dans l’ordre chronologique de publication, rien que pour que votre première expérience avec Martin Servaz soit avec le cultissime chef-d’œuvre qu’est « Glacé« .

    Je vais vous détailler chacun des livres de cette série, mais avant, je vais vous donner une petite astuce pour lire les romans de Minier gratuitement.

    Alors oui, vous n’aurez pas de livre papier gratuitement, mais plutôt un livre audio ! Les thrillers se prêtent super bien à la lecture audio et si vous ne vous êtes jamais essayé aux livres audio, c’est peut-être le moment d’essayer.

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    Il est normalement payant, mais vu que vos deux premiers livres audio vous sont offerts, vous l’aurez gratis :

    Bonne écoute !

    Maintenant revenons à nos livres papiers. Analysons quelques-uns de ces livres plus en détails.

    Glacé : Le Livre par lequel commencer à lire Bernard Minier

    Si vous voulez lire Bernard Minier, il faut absolument commencer par lire « Glacé« , le premier livre de Bernard Minier ainsi que le premier tome des enquêtes de Martin Servaz.

    Ce livre a propulsé la carrière de l’auteur. Salué par la presse, le livre est sacré meilleur roman francophone au Festival Polar de Cognac et connaît un large succès public.

    En mai 2019, le Sunday Times le classe dans son Top 100 des meilleurs romans policiers depuis 1945.

    Eh oui, en plus d’être le meilleur livre de Bernard Minier, il est également l’un des meilleurs polars/thrillers de tous les temps ! Rien que ça.

    Mais de quoi ça parle ?

    Voici le synopsis officiel :

    Décembre 2008, dans une vallée encaissée des Pyrénées. Au petit matin, les ouvriers d’une centrale hydroélectrique découvrent le cadavre d’un cheval sans tête, accroché à la falaise glacée.

    Le même jour, une jeune psychologue prend son premier poste dans le centre psychiatrique de haute sécurité qui surplombe la vallée. 

    Le commandant Servaz, 40 ans, flic hypocondriaque et intuitif, se voit confier cette enquête, la plus étrange de toute sa carrière. Pourquoi avoir tué ce cheval à 2 000 mètres d’altitude ? Serait-ce, pour Servaz, le début du cauchemar ? 

    Une atmosphère oppressante, une intrigue tendue à l’extrême, une plongée implacable dans nos peurs les plus secrètes. 

    Le ton est donné. Ce livre est pur bijou. Lisez-le, vous ne le regretterez pas !

    Le Cercle : La suite de Glacé

    Le Cercle est la suite de Glacé.

    Après Glacé, Bernard Minier frappe très fort avec cette suite particulièrement réussie.

    L intrigue est très prenante, un jeu de pistes très malin jusqu’au dénouement plutôt surprenant. On retrouve avec plaisir le commandant Servaz avec ses manies et ses failles.

    Synopsis officiel :

    Un coup de fil surgi du passé, un e-mail énigmatique, qui signe peut-être le retour du plus retors des serial-killers, précipitent le commandant Martin Servaz dans une enquête dangereuse, la plus personnelle de sa vie. Un professeur de civilisation antique assassiné, un éleveur de chiens dévoré par ses animaux…

    Pourquoi la mort s’acharne-t-elle sur Marsac, petite ville universitaire du Sud-Ouest, et son cercle d’étudiants réunissant l’élite de la région ? Confronté à un univers terrifiant de perversité, Servaz va rouvrir d’anciennes et terribles blessures et faire l’apprentissage de la peur, pour lui-même comme pour les siens.

    N’éteins pas la lumière

    « N’éteins pas la lumière » succède à « Le cercle ».

    Dans ce livre, Martin Servaz devient un personnage secondaire.

    C’est un style un peu différent des 2 autres romans.

    Synopsis officiel :

     » Tu l’as laissée mourir… « 
    Le soir de Noël, Christine Steinmeyer, animatrice radio à Toulouse, trouve dans sa boîte aux lettres le courrier d’une femme qui annonce son suicide. Elle est convaincue que le message ne lui est pas destiné. Erreur ? Canular ? Quand le lendemain, en direct, un auditeur l’accuse de n’avoir pas réagi, il n’est plus question de malentendu. Et bientôt, les insultes, les menaces, puis les incidents se multiplient, comme si quelqu’un cherchait à prendre le contrôle de son existence. Tout ce qui faisait tenir Christine debout s’effondre. Avant que l’horreur fasse irruption.

    Dans les ténèbres qui s’emparent de sa vie, la seule lueur d’espoir pourrait bien venir d’un certain Martin Servaz.

    Nuit

    Quatrième volet de la saga dans l’ordre de parution, on y retrouve Martin Servaz, le détective et Julian Hirtmann, le sérial killer.

    Ce tome est à l’image des deux premiers et est centré sur Martin Servaz, au grand plaisir des lecteurs.

    Synopsis officiel :

    Nuit de tempête en mer du Nord. Secoué par des vents violents, l’hélicoptère dépose Kirsten Nigaard sur la plate-forme pétrolière. L’inspectrice norvégienne enquête sur le meurtre d’une technicienne de la base offshore. Un homme manque à l’appel. En fouillant sa cabine, Kirsten découvre une série de photos.

    Quelques jours plus tard, elle est dans le bureau de Martin Servaz. L’absent s’appelle Julian Hirtmann, le tueur retors et insaisissable que le policier poursuit depuis des années. Étrangement, sur plusieurs clichés, Martin Servaz apparaît. Kirsten lui tend alors une autre photo. Celle d’un enfant. Au dos, juste un prénom : Gustav.

    Pour Kirsten et Martin, c’est le début d’un voyage terrifiant. Avec, au bout de la nuit, le plus redoutable des ennemis.

    Soeurs

    Les aficionados de la lecture dans l’ordre chronologique seront tentés de lire « Soeurs » en premier car une partie de l’histoire qui y est contée se déroule bien avant les évènements de « Glacé ». 25 ans plus tôt pour être précis.

    On y retrouve bien sur le commandant Servaz, l’histoire se déroule en deux temps : en 1993 et en 2018.

    Un thriller passionnant du début à la fin !

    Le synopsis officiel :

    Mai 1993. Deux sœurs sont retrouvées mortes en bordure de Garonne. Vêtues de robes de communiantes et attachées à des troncs d’arbres.

    C’est la première enquête du jeune Martin Servaz qui vient d’intégrer la PJ de Toulouse. Très vite, il s’intéresse à Erik Lang, auteur de romans policiers à l’œuvre aussi cruelle que dérangeante. Les deux sœurs n’étaient-elles pas ses fans ? L’un de ses plus grands succès ne s’appelle-t-il pas La Communiante ? L’affaire connaît un dénouement inattendu, laissant Servaz rongé par le doute : dans cette enquête, estime-t-il, une pièce manque, une pièce essentielle.

    Février 2018. L’écrivain Erik Lang découvre sa femme assassinée… elle aussi vêtue en communiante. Vingt-cinq ans après le double crime, Martin Servaz est rattrapé par l’affaire. Le choc réveille ses premières craintes. Jusqu’à l’obsession.
    Une épouse, deux sœurs, trois communiantes… et si l’enquête de 1993 s’était trompée de coupable ?

    La vallée

    Une enquête de Martin Servaz qui le confronte aux fantômes de son passé, et à une série de meurtres aux mises en scènes particulièrement sophistiquées et macabres, dans une vallée coupée du monde.

     » Je crois que quelqu’un est en train d’agir comme s’il se prenait pour Dieu… « 

    Un appel au secours au milieu de la nuit.
    Une vallée coupée du monde.
    Une abbaye pleine de secrets.
    Une forêt mystérieuse.
    Une série de meurtres épouvantables.
    Une population terrifiée qui veut se faire justice.
    Un corbeau qui accuse.
    Une communauté au bord du chaos.
    Une nouvelle enquête de Martin Servaz.

    La Chasse

    Un autre livre que je me dois de mentionner, c’est « La chasse« , l’un des (si ce n’est LE) meilleurs thrillers de l’année 2021.

    C’est le 7ᵉ tome des enquêtes de Martin Servaz et une petite pépite de polar.

     » Il y a des ténèbres qu’aucun soleil ne peut dissiper. « 

    Sous le halo de la pleine lune, un cerf surgit de la forêt. L’animal a des yeux humains. Ce n’est pas une bête sauvage qui a été chassée dans les forêts de l’Ariège… 

    Dans ce thriller implacable au final renversant, Bernard Minier s’empare des dérives de notre époque. Manipulations, violences, règlements de comptes, un roman d’une actualité brûlante sur les sentiers de la peur.

    Une enquête dans laquelle Martin Servaz joue son honneur autant que sa peau. 

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    5 réflexions au sujet de “Dans quel ordre lire Bernard Minier (Commandant Servaz) ?”

    1. Je ne connais Bernard Minier que depuis peu. Je suis en train de lire « la vallée » et j’en suis environ à la page 80. Je me pose déja pas mal de question. Même si le style d’écriture est bon, l’histoire prenante, il y a des choses qui me choquent. Déja cette habitude que d’autres ont aussi, a savoir vouloir montrer ses connaissances en médecine, en détaillant des trucs qui certes sont véridiques et bien documentées, mais qui donnent l’impression soit que M. Minier a fait quelques études de médecine, soit qu’il a bien lu l’encyclopédie. Cette manie est pénible. Sa description « scientifique » de l’hypothermie est agaçante. On dirait qu’il étale sa science comme d’autres étalent la confiture. ( La connaissance, c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale). Le passage sur le sterno-cleido-mastoidien aussi. J’espere que cela va s’arrêter là. Un vieil auteur avait le même défaut pénible (André Caroff). Ensuite et c’est pour moi le pire est cette nouvelle facheuse habitude de féminiser les mots. « Professeure » avec un e final est franchement agaçant et pénible. Les allemands et les anglais ont le neutre « das » et « it ». Nous aussi, mais personne ne semble le savoir. Chez nous, il se confond avec le masculin. Il est vraiment pénible de lire ce genre de « modernisme » à tout crin. Il existe un terme pour cette folie de tout vouloir féminiser, mais je l’ai oublié (specisme? genrisme?). Pourquoi pas une balayeure ? une blanchisseure? Une masseure ? C’est délirant cette pseudo volonté d’égalité malsaine et inappropriée. En 1790, ils avaient déja essayé ce genre de truc en supprimant les mois « classiques » et en les remplacant par des ôse « pluviôse, ventôse, etc. Cela n’a même pas tenu 10 ans. J’espère que cette « modernité » ne durera pas non plus. Certes une langue évolue et doit évoluer, mais pas dans sa forme la plus bête.
      Cette dictature de l’égalitarisme à outrance va t il jusqu’a vouloir qu’on utilise dictateure en cas de femme dictateur ? Ou dictateuse? Ce dernier ne fait pas serieux, ni le premier. Il y a déja assez d’hommes dictateurs pour ne pas en rajouter, bien que beaucoup de femmes aimeraient le devenir (Ursula Von Der Leyden par exemple, ou Margaret Thatcher dans le passé)
      Je vais terminer ce livre, mais je sens qu’il va m’agacer.
      Je n’avais jamais pu aller au dela de la moitié d’un livre de Maxime Chattham qui remplit les pages d’interrogations pour faire du remplissage. J’espère que j’irais au bout de la « vallée ». Marrant et agaçant en même temps cette manie de certains auteur français. Raison pour laquelle je découvre toujours les nouveaux auteurs français à reculons… Et une femme auteur : auteuse ? auteure? L’intelligence à la réponse : auteur.

    2. « La vallée » page 228-230 : long plaidoyer pro flic, du genre : pourquoi les gens détestent la police, gnagnagna etc.. : Parce que les gens normaux n’aiment pas cette profession autorisée à éborgner les gens avec des fusils qui ne tuent pas mais qui délabrent salement, à déchiqueter les mains d’autres gens, à les tabasser dans la rue uniquement parce qu’ils réclament des droits et des moyens de vivre décemment, et cela sans que ces policiers ne soient inquiétés ni par leur hiérarchie ni par leurs tutelles, qui au contraire les félicitent. Peut être aussi parce que les gens se souviennent qu’ils ont chassé « du juif » pendant les années glorieuses de 1941 à 1943 avant de se rallier au dernier moment à la résistance quand le vent à vraiment tourné. C’est cette police là qui est devant les projecteurs et c’est celle que les gens haissent
      Page 230 c’est le pompon : les flics, pardon ces messieurs de la maréchaussée sont là pour traquer les « dangereux délinquants qui roulent trop vite »…. Là, j’aurais pu tomber sur le c.. si je n’avais pas été assis. La vitesse ne tue pas, mais n’est qu’un facteur aggravant et cela, c’est un fait prouvé et établi maintenant. Sachant que 90 % des excès de vitesse concernent des excès de vitesse de moins de 10 kmh, on se dit que B. Minier est un ultracrépidariantioniste. Ou alors, s’il en est conscient, il est donc favorable à ce que la police ne soit qu’un des maillons du ministère des finances et que ces excès ne soient que des impôts déguisés, ce qu’ils sont en réalité.
      Plus je lis ce livre, et malheureusement j’en ai acheté deux, mais il n’y en aura pas un troisième, plus je cerne ce B.Minier : quelqu’un de profondément convaincu en la parole venue d’en haut, quel qu’elle soit, à partir du moment où c’est le Pouvoir qui parle, quelqu’un persuadé qu’il faut obéir, qu’il ne faut pas se poser de questions. Une sorte de réac des temps modernes : il doit être pour le tri sélectif, contre le diesel (qui est le moins polluant de tous les carburants, preuves à l’appui), pour les masques (qui ne filtrent pas les virus, c’est écrit sur les boites), pour les pseudo vaccins anti covid qui ne marchent pas (normal, c’est de l’ARNm qui n’a rien à voir avec le virus, ARNm que l’immunité ne reconnait pas en tant que virus, mais en tant qu’ARNm étranger. (Covid qui a totalement disparu en mai 2020 soit dit en passant. Après ce n’était plus que de l’intox politique.)
      Pour tout ce qui pourri la vie des gens maintenant.
      Une sorte d’André Caroff moderne.
      Sa philosophie et sa vision de la vie n’est pas la mienne, ni de celle de la majorité des gens j’en suis certain.
      Mais en tout cas, c’est bien vu. Avec ses romans (bien ficelés, il est vrai) il distille en douce une sorte de pensée autoritaire et anti sociale (en désignant la catégorie des gens méchants, ceux qui roulent vite à 95 kmh par exemple au lieu de 90, ceux qui ne veulent pas de la société Macroniste Thatchérienne qu’on nous impose progressivement).
      Je n’aime pas la pensée profonde et à peine cachée de Bernard Minier

    3. La fin de la vallée est originale. mais alors, pour y parvenir, quel chemin de croix ! Il a fallu lire les divagations de l’auteur sur la société, sur la police mal aimée (la pauvre) et se farcir une bonne cinquantaine de « mairesse » terme affreux pour le féminin de maire, qui me rappelait à chaque fois le mot « pétasse »…. Rien n’est établi pour le féminin des mots en « eur », mais Minier s’en fout. Il privilégie le politiquement correct, haïssable.
      J’ai attaqué ensuite « la chasse ». D’emblée, il met les points sur les i : il tartine toutes les premières pages de masques au prétexte de (pseudo) pandémie…. On a vécu 2 ans et demi d’enfer politique avec des lois d’exception évoquant les pires dictatures avec ces masques, ces confinements inutiles, ces pseudo vaccins inefficaces et toute ce délire généralisé propagé par ces fumiers de l’agence McKinsey sans avoir envie de lire les vilénies de cette époque anxiogène et délirante. Je ne suis pas allé au delà de la page 30 et vais mettre ces deux bouquins dans les boites d’échange que l’on trouve dans certaines villes.
      J’étaye mes propos qui peuvent paraitre « complotistes » mais ne le sont pas, ce sont certains gouvernements « conseillés » par Mc Kinsey qui étaient les générateurs d’un complot.
      Beaucoup de médecins et pseudo spécialistes ont participé à ce complot, par bêtise et appât du gain, mais une grande partie des vrais spécialistes n’ont pas été dupes et ont dénoncés ces dérives totalitaires.
      Les confinements ne servent à rien, et sont contre productifs : études de Madras, dans les années 50-60 qui l’ont démontré.
      Les masques inefficaces : le maillage fait en moyenne 1400 nanomètres pour des virus de 10 ou 12 nanomètres. C’est comme si une barre d’immeuble dont les fenêtres seraient ouvertes voulait empêcher les mouches et guêpes de passer. En plus, c’est écrit sur les boites de masque qu’ils sont inefficaces contre les virus.
      Vaccin à ARNm. En gros l’ARNm est fabriqué par le virus pour infecter les lymphocytes et fournir une information délétère. On fabrique des Anticorps contre cet ARNm. Problème, quand le virus pénètre notre organisme, son ARNm est dans la capsule virale, à l’abri. Et l’anticorps fabriqué contre lui ne peut pas l’atteindre. Imaginez quelqu’un dans une voiture fermée attaqué par un chien dehors. C’est pour cela que ces vaccins à ARNm ne sont pas des vaccins et sont totalement inefficaces, et c’est pour ça qu’ils insistent pour qu’on en fasse 5, 6, 10, 100 ….. Ils sont les politiques et les industriels de la pharmacie.
      Ajoutez à cette salade l’appât du gain cher aux médecins, mélangez le tout et vous obtenez cette période de délire qui s’est écoulée sur 2 ans et demi. Appât du gain voir plus : les médecins étaient surpayés quand ils trouvaient des cas positifs avec des tests PCR totalement faux et foireux: On savait que ces tests PCR étaient faux, notamment avec les tests quantiféron pour la tuberculose, archi faux, ne trouvaient que des cas positifs, sans tuberculose. Même le créateur de ce test disait qu’il ne fallait pas l’utiliser en diagnostic seul et surtout pas à grande échelle.
      Toute cette brochette de mauvais, de corrompus, d’incompétents nous ont rendu la vie épouvantable pendant 2 ans et demi, ce n’est pas pour retrouver cette ambiance dans un livre sensé soit disant « distraire ».
      Pourquoi remplir vos livres avec ces détails et considérations qui m’amènent rien à l’histoire ? Si ce n’est par opportunisme?
      Mr Minier, je ne vous aime pas. Je n’aime pas vos idées. Je ne lirai plus aucun de vos livres.

    4. Mr Thilliez, un génie, ne publiant malheureusement qu’un livre par an, il va falloir trouver un autre auteur. Mr Thilliez pour l’instant, n’a pas ces gros défauts. Pourvu que ça dure.
      Mr Granger non plus, mais axe trop ces romans sur la religion. C’est gênant.

    5. Ses romans (dommage que l’on ne puisse pas corriger les fautes après publication)…

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